mercredi 21 janvier 2009

Un mardi soir

L'empirisme décroissant vole à sa perte. Faut-il dégringoler les étages pour aller de l'avant. Je ne pourrais pas subvenir à tant d'attentes nauséabondes. Les élégances ne font pas partie des mésaventures organisées par l'autre clan. Henri n'est pas resté plus loin car il pensait revenir vers l'arc-en-ciel. C'est le bazar de nos subterfuges qui s'emballe. Ne retiens pas ta main psychédélique. Il est possible que nous allions gamberger encore et encore vers un autre domaine variable. L'agronomie ne se résout pas d'elle même. Laisse alors volatiliser les échantillons de verre colorés. Les brindilles fleuriront sur ton passage si tu y vas sur les orteils. Qu'importe la joie et l'arrivage des poissons affamés. L'ouragan siffle sur ta chair. Les os se débinent tel une bobine de fils noués. Calomnie de nos envies retrouvées, tu restes là sans chuchoter de minauderies infantiles. Je t'entends par dessus ma nuque glacée. Raccordons nous cet instant qui ne pourrait que s'envoler à outrance. Les affaires marchent sur des poussins jaunes. Les cailloux frôlent les alentours placés sous silence. C'est ainsi que vont et viennent tous les petits oiseaux de nos livres parfumés.

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