vendredi 6 février 2009

Il s'agit avant tout de démontrer comment et par quels moyens est-il faisable, ou non, de désespérer un chameau s'il est plein d'eau. Là est le grand questionnement des êtres sur les têtes. Je ne dis pas qu'il en va de soit mais supposons qu'il se fragilise les os. L'eau n'apportera alors aucune solution préétablie. Je ne sais pas comment varier les modes de présentation en fonction des propagations surréalistes mais sans équivoque. C'est assez surnaturel de visualiser les bêtes sans tête. Il faut relativiser les soi-disant génocides exploités. La vérité dépend des mines. Il va sans dire que les approximatives options qui s'offrent à vous sont dépendantes de la vendange. C'est aussi tangent à la country de nos vieux champs.

jeudi 5 février 2009

C'est une sorte de calembour désabusé qui imite les souris d'avant-garde. Une fois cet élan retrouvé, nous pouvons maintenir le cap vers les froufrous. Ne soyons pas trop en avance sur tous les chapeaux. Il faut cheminer ensemble dans ton temple isotherme. Je ne demande qu'à engloutir toute cette matière de toutes les manières essentielles. Sans raclette allongée vers un océan de nos fonds de contrées. C'est si lointain qu'il faut manipuler les êtres avec grande négligence narrative.

mardi 3 février 2009

Déception immaculée de nos retrouvailles regrettées. Tu mens par tous les doigts de nos pieds. Mais crois-tu que tu vas t'en tirer aisément ? Je ne dis pas que ça va aller si vite mais prends les chevilles à ton cou. Ne refroidis pas au quart de tour. Tu te dépenses en fonction des ordonnances volées. Tu te crois surprotégé mais ne parcours que des chemins tracés. C'est autrui qui fait l'huître sans perdre de vue les atomes égocentriques de la vision nocturne. Arrête ce charabia tant inutilisé. Ne dépense pas toutes tes artères. Crois en toutes choses argumentées et alignées respectant une harmonie douteuse. C'est sans doute avec le recul que tu assois les hippopotames suaves.